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Avec l’émergence des réseaux sociaux et plus globalement des nouveaux modes de communication liés à l’Internet, les marques se retrouvent face à un bouleversement qui remet en cause tout ce qu’on pensait savoir en matière de communication. Désormais le consommateur est libre. Libre d’aimer ou de haïr, de critiquer ou d’encenser, de porter aux nues ou de « ringardiser ». Le tout à la vitesse d’un clic. Mais le challenge est passionnant pour ces marques qui doivent se faire désirer plus que tout. A elles de créer un lien émotionnel, de ré-enchanter le quotidien, de faire vibrer sans jamais lasser. Pour se démarquer et se rendre audible, elles doivent désormais offrir de l’interaction, provoquer des discussions, proposer des exclusivités, toucher émotionnellement tout en conservant leur volonté première qui est de vendre, évidemment.

Communiquer ou l’art de ré-enchanter


La plaquette est morte, vive Twitter ! Là où la surenchère de texte permettait de se rassurer, Twitter a changé la donne. Désormais 140 signes offrent à une marque l’opportunité de communiquer avec des milliers d’abonnés en prêchant la bonne parole marketing. Encore faut-il le faire avec talent. Nous sommes à l’ère au « cross-marketing » ?  Pour ma part, je crois au « cross writing ». Pour communiquer il faut savoir twitter, proposer du «brand content» à forte valeur ajoutée, créer de l’émulation sur les forums, rassembler sur les réseaux sociaux. Et un élément reste immuable dans ces chaos virtuels : les mots. Leur poids doit être pesé avec encore plus de minutie sous peine de se retrouver avec une bombe à retardement.
 

Dans ce contexte le choix d’un spécialiste de la communication écrite s’avère stratégique. Un spécialiste parfaitement au fait des enjeux liés au digital. Un story-telleur, un narrateur, peu importe son nom.
 

Chaque jour j’insuffle du sex-appeal aux marques, je les rend désirables aux yeux des consommateurs, je leur tisse une toile sur-mesure tout en respectant leur code. Le fameux ADN qui doit plier sans jamais rompre. Car n’oublions pas que le consommateur reste en quête de sens et qu’une marque ne doit jamais « se forcer ». Par exemple parler à la fameuse génération Y tant courtisée par les marques de luxe demande une grande finesse et ne peut s’improviser. Le consommateur doit s’engager sans même qu’il s’en rende compte. Et ce tour de passe-passe seul un artiste des mots peut le réaliser.

 

Valerie Decool
 
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